Premiers mots sur le calepin

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J’ouvre ce calepin numérique (un blog en langage internaute) aujourd’hui !

Il fait beau, j’avais envie d’un lieu où poser mes idées et leurs avancées et, ne le nions pas, le désir de partager avec d’autres personnes. Mon bienheureux fils dort, ma femme est en vadrouille, je peux donc pianoter sur l’ordinateur sans que personne ne me dérange.

Je vais faire un petit exposé de mes buts actuels :

– Finir ma nouvelle de space opéra que je dois envoyer à AOC ! Très important !

– Finir les recherches sur les pigments pour ma nouvelle que je proposerai à l’AT peinture d’Etherval (au passage Le petit livre des couleurs de Michel Pastoureau est savoureux et se lit d’une traite comme une gourmandise).

– Finir les choix sur le roman des Cent de Cocagne.

– Accessoirement, revoir mes cours sur le judaïsme ancien… j’ai une petite idée pour améliorer mon cours sur le roi Josias… Pauvres élèves de sixième, encore un récit à rédiger en cours ! Gnarf gnarf gnarf ! De même, la lecture des Matériaux de la couleur m’a donné une idée sur mon cours sur l’expansion commerciale au Moyen Âge et je dois revoir mon cours sur la Renaissance (oui, j’ai choisi Michel-Ange et pas Léonard de Vinci, na !).

– Hummmm… il me reste aussi 42 jours pour trouver une idée pour l’AT sur Noël lancé par Argemmios (j’avais une idée sur saint Nicolas de Smyrne avec des lutins… passons, j’ai une obsession avec les lutins, tous ceux qui me connaissent le savent), 11 jours pour trouver une idée sur l’AT Chaperon rouge (là, j’avoue, je sèche lamentablement). Il y a aussi l’AT magie celtique qui me titille mais avec ce genre d’AT, je crains toujours que ce soient les clichés celtisants qui sont recherchés et non des thèmes vraiment celtiques (je vous jure, on me refait encore un truc sur la Grande Mère et le Cornu et je risque de faire sauter les disjoncteurs de toute ma région…). Je vais me replonger dans la thèse de Laurent Guyénot La mort féerique (publiée chez NRF aux éditions Gallimard) pour trouver une petite idée (je sens le chevalier au cygne me titiller, surtout depuis que je me dis que je ferai ptêt pour m’amuser un master de recherche portant sur les lignages aristocratiques se prétendant d’ascendance féerique comme les Lusignan ou Godefroy de Bouillon, un sacré type celui-là d’ailleurs).

Bon, je cesse de vous ennuyer avec mes délicates arguties et je retourne écrire !