Un projet, dieu du ciel, on y arrivera jamais !

Par défaut

 

 

Suite à un défi lancé (disons plutôt un chantage plein de supposées morts douloureuses) par une dénommée Blanche (dont vous trouverez le blog ici), je dois rédigez un roman d’ici juin (je n’y arriverais jamais).

Je n’avais aucune idée… jusqu’à la semaine dernière. Je réfléchissais à l’AT Peinture d’Etherval quand cela a jailli. Mes idées de nouvelle est devenue la trame d’un roman.

Le titre est pour le moment inadéquat : La Chute de Pastel (ou la Légende d’Ésope).

Le synopsis est le suivant :

« Ésope, enfant né des amours illégitimes de la Reine des Fées et d’un humain, quitte enfin les jupes de sa mère pour découvrir le monde. Accompagné de son tuteur, un Corniquet (un lutin avec des cornes de chevreau sur le front) nommé Érion, il fait voile vers la cité insulaire de Pastel sur une goélette elfique transportant des cochenilles et des coques de guède. Célèbre pour ses draperies, ses soieries, ses phares à couleurs et son marché d’esclaves, Pastel verra s’écrire la légende tragique d’Ésope et se dessiner inéluctablement son destin. En effet, à peine arrivé sur les quais pastelans, Ésope sauve la vie d’un chat qui parle, Carabas. Guidé par le félin au grand désespoir d’Érion, Ésope contemplera non seulement le visage sombre de l’humanité à travers l’esclavage et l’extermination des Animaux qui parlent, mais aussi sa face lumineuse en apprenant l’amour et le pacifisme. Animé de la fougue de la jeunesse et de son don pour la poésie, il commencera une longue quête pour que change la condition des animaux qui parlent, entraînant avec lui cinq marchands elfes, un agent de l’O.G.R.E et son tuteur. »

Il y aura des Jeux, des oracles, du pacifisme, de l’amour, des trahisons… Bref la vie ! Mais bon, soyons honnêtes, je ne le finirai jamais !

Mais écrivons tout de même !

 

Une réponse "

  1. QUOAAAAA ??
    Quelqu’un a osé te menacer ? Je vais lui casser la figure !!
    Bon courage Daerel ! L’intrigue est sympa comme tout, je suis sûre que tu peux mener ce projet jusqu’au bout. 🙂

    Longue vie à Esope !

    • Yep ! Tu peux y arriver ! Hâte de voir des personnages issus de l’OGRE (je me souviens encore bien d’une scène sur un quai ^^)

      (bien joué Blanche !)

  2. Merci Blanche et Swald.
    Je viens de récupérer un clavier, donc je peux vous répondre.
    Je pars du principe que ce roman est un amusement, je me prends pas la tête et j’y vais à fond !

  3. Je suis toujours très curieux des récits de fantasy imprégnés de références …

    Un roman d’ici juin … bigre ! Juin 2013, pourquoi pas. 🙂

    • Le but est d’y arriver. Point. J’hésite à mettre un personnage qui s’appellerait Ovide dans le roman… J’avais entendu des auteurs dire qu’un roman, c’était comme un accouchement. On le porte des mois en soit et en moins d’une journée, on en est libéré. Cette vision parturiente de l’écriture m’a toujours semblé me correspondre. Je sens le récit mugir dans mes entrailles, mes tripes, mon estomac, prêt à surgir pour être révélé au monde, et moi, fatigué, exténué mais heureux d’en avoir fini pour le contempler. L’idée selon laquelle écrire est un labeur quotidien, fort peu pour moi. Cette vision laborieuse de l’écriture m’a toujours fait fuir et m’a toujours semblé renoncer au génie. Enfin, c’est ma position et elle est tout à fait contestable !

  4. Toujours pensé plus ou moins la même chose … mais devant la discrétion de mon génie, ou ses trop fulgurantes apparitions, en ce moment j’essaye de me convaincre que le travail doit pouvoir arrondir les angles.
    Cela dit, lorsqu’on a une idée très claire de ce qu’on veut écrire, qu’une image très puissante a été convoquée, on peut avoir cette sensation du « tout tout de suite ». Chez moi elle n’a jamais fait que confirmer que le monde de la fulgurance mentale/poétique et autre n’appartient pas au véritable monde de l’écriture. Il y a un chemin à tracer, je pense, entre l’inspiration et le labeur, et quelque part, l’inspiration en tant que telle doit être défaite par le labeur. Je pense que les expériences déplaisantes liées à l’écriture soint inévitables, et que, comme pour le reste de « l’expérience », il y a un apprentissage à faire. Seulement, celui-ci n’ a que peu à voir avec la technique, même si elle reste très importante. Cela concerne autre chose, que je ne sais pas encore nommer.

    Bon, et sinon oui, le truc, c’est d’y arriver, point barre. 🙂

  5. Bonsoir, Daerel !

    En faisant une petite recherche, nous avons vu que vous parliez de notre revue Etherval, et en particulier de l’appel à texte concernant la Peinture. Nous sommes ravis que cet appel est éveillé en vous l’idée d’un roman et espérons que cette inspiration aboutira sur quelque chose de concret. Sachez que nous disposons d’une page facebook, dont voici le lien :
    https://www.facebook.com/pages/Étherval/189251017856553
    et bien sûr d’une page internet, que vous connaissez peut-être déjà : http://www.etherval.com
    En espérant vous revoir sur d’autres appels à textes de notre revue,

    Bien à vous,

    Le Collectif de la Revue Etherval

Laisser un commentaire